GRâces ultimes

Le titre s’est imposé de lui-même : j’étais devant des « grâces ultimes ». Car il y a de l’élégance essoufflée, ayant de l’élan encor, mais de la grâce flétrie, de la beauté confite au soleil, du pétale parcheminé, décoloré, fragile. Et parfois, au fil de mes rencontres avec ces figures de la dessication, de l’après, l’hallucination d’un regard, d’une moue, d’une silhouette – et quelques voiles dansants.

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